Prise en compte de la cybercriminalité par la police et la gendarmerie
La police et la gendarmerie ont pris conscience des nouvelles menaces liées au cyberspace.
Pour ces deux institutiuons , ma cybercriminalité constitue un champ d'action renouvelé et ouvert.
- Mai 2000: L'Office Centrale de Lutte contre la Cybercriminalité liée aux technologies de l'Information et de la Communication ( OCLCTIC ) a "t" créé au sein de la Direction centrale de la Police judiciaire au ministère de l'intérieur afin de mieux lutter contre cette criminalité. Ce service judiciaire à vocation interministerielle comprend des policiers et des gendarmes qui mettent en commun leurs compétences pour lutter contre ce fléau
- La Direction de la surveillance du territoire intervient de manière complémentaire à l'action de l' OCLCTIC
- 1997: la division nationale de répression aux atteintes aux personnes et aux biens ( DNRAPB ) a pris en charge le traitement des atteintes aux mineurs victimes ET des infractions à la loi sur la presse liée au cyberspace
-1998: création par la gendarmerie du département de lutte contre la cybercriminalité au sein du service technique de recherches judiciaires et documentaires ( STRJD )
- La police technique et scientifique a développé son savoir-faire pour la police et la gendarmerie pour mettre en route la division criminalistique "ingénierie et numérique" de l'Institue de Recherche Criminelle de la Gendarmerie ( IRCGN ) et les services de la sous direction de la police technique et scientifique de la police judiciaire
- des enqueteurs spécialisés ont été formés, des services ouu unités ont acquis une solide expérience (ex: Internet de la Brigade de la Protection des Mineurs BPM , brigade d'enquètes sur les fraudes aux technologies de l'information BEFTI , des directions interrégionales de police judiciaire DIPJ ...)